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* 8 août 1914
 
* 8 août 1914
:* Un lieutenant de dragons de la cavalerie française '''Lahoulle''' fils d'un honorable commerçant d'Auray, fut victime d'une tentative d'assassinat de la part d'un officier allemand, M. de Schaffenberg, des hussards de Trêves. Il tira sur le lieutenant un coup de revolver puis le vola d'une somme de 250 francs en or et son revolver d'ordonnance  
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:* Un lieutenant de dragons de la cavalerie française '''Lahoulle''' fils d'un honorable commerçant d'Auray, fut victime d'une tentative d'assassinat de la part d'un officier allemand, M. de Schaffenberg, des hussards de Trêves. Il tira sur le lieutenant un coup de revolver puis le vola d'une somme de 250 francs en or et son revolver d'ordonnance
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* 6 septembre 1914
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:* Nous apprenons la mort glorieuse du lieutenant de gendarmerie '''[[Eusèbe COLTAT|Coltat]]''', au commandement du compagnie, il est tombé en héros face à l'ennemi, frappé de deux balles à la tête et d'un éclat d'obus à la poitrine. Il était à Auray depuis 10 ans
  
 
== Sources ==  
 
== Sources ==  
  
 
* Courrier breton : nouvelles du Morbihan du 6 Septembre 1914
 
* Courrier breton : nouvelles du Morbihan du 6 Septembre 1914
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* L'Écho du Morbihan - 27 septembre 1914

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Informations
Portail : Les Alréens, Alréennes pendant la guerre
Catégories  : Militaires
Presse




Présentation

Vous trouverez ci-dessous des faits relatant les épisodes militaires des Alréens, trouvés dans la presse morbihannaise, de France ou de l'Étranger


1914

  • 8 août 1914
  • Un lieutenant de dragons de la cavalerie française Lahoulle fils d'un honorable commerçant d'Auray, fut victime d'une tentative d'assassinat de la part d'un officier allemand, M. de Schaffenberg, des hussards de Trêves. Il tira sur le lieutenant un coup de revolver puis le vola d'une somme de 250 francs en or et son revolver d'ordonnance
  • 6 septembre 1914
  • Nous apprenons la mort glorieuse du lieutenant de gendarmerie Coltat, au commandement du compagnie, il est tombé en héros face à l'ennemi, frappé de deux balles à la tête et d'un éclat d'obus à la poitrine. Il était à Auray depuis 10 ans

Sources

  • Courrier breton : nouvelles du Morbihan du 6 Septembre 1914
  • L'Écho du Morbihan - 27 septembre 1914